Natura 2000 forme le grand réseau européen consacré à la préservation de la biodiversité. Il réunit plus de 27 000 sites, terrestres et marins, choisis pour la richesse de leurs habitats et espèces, répertoriés dans les directives « Oiseaux » et « Habitats-Faune-Flore ». En France, près de 13 % du territoire métropolitain et 11 % de sa ZEE relèvent de ce dispositif. Loin d’être une mise sous cloche, Natura 2000 organise une cohabitation : les activités humaines demeurent possibles, mais doivent être évaluées lorsqu’elles risquent d’impacter des milieux sensibles. La gestion repose sur une implication locale forte : chaque site est piloté par un comité réunissant acteurs, habitants, scientifiques et usagers, chargé de définir des objectifs, chartes et contrats financés en partie par l’Union européenne. Le réseau encourage ainsi une approche collective, durable et pragmatique de la protection du vivant.
Intervenir dans un site classé Natura 2000 implique d’aborder chaque lieu comme un écosystème, dont l’architecture, le paysage et les usages doivent s’équilibrer. Pour dd.a, cela revient à conjuguer restauration patrimoniale, maîtrise des impacts environnementaux et adaptation aux mutations climatiques. Nos projets, à Chaumont ou au Salève, montrent combien ces contextes exigent une lecture fine des ressources : gestion raisonnée de l’eau, préservation des milieux humides, sobriété énergétique, matériaux pérennes — photovoltaïque, flux, récupération des eaux pluviales, etc. L’enjeu n’est pas seulement de réhabiliter, mais de réorienter des sites emblématiques vers des usages contemporains compatibles avec le vivant. dd.a y engage des interventions mesurées, ancrées dans les réalités du site, pour articuler exigences patrimoniales, qualité d’usage et contraintes environnementales.
Natura 2000 forme le grand réseau européen consacré à la préservation de la biodiversité. Il réunit plus de 27 000 sites, terrestres et marins, choisis pour la richesse de leurs habitats et espèces, répertoriés dans les directives « Oiseaux » et « Habitats-Faune-Flore ». En France, près de 13 % du territoire métropolitain et 11 % de sa ZEE relèvent de ce dispositif. Loin d’être une mise sous cloche, Natura 2000 organise une cohabitation : les activités humaines demeurent possibles, mais doivent être évaluées lorsqu’elles risquent d’impacter des milieux sensibles. La gestion repose sur une implication locale forte : chaque site est piloté par un comité réunissant acteurs, habitants, scientifiques et usagers, chargé de définir des objectifs, chartes et contrats financés en partie par l’Union européenne. Le réseau encourage ainsi une approche collective, durable et pragmatique de la protection du vivant.
Intervenir dans un site classé Natura 2000 implique d’aborder chaque lieu comme un écosystème, dont l’architecture, le paysage et les usages doivent s’équilibrer. Pour dd.a, cela revient à conjuguer restauration patrimoniale, maîtrise des impacts environnementaux et adaptation aux mutations climatiques. Nos projets, à Chaumont ou au Salève, montrent combien ces contextes exigent une lecture fine des ressources : gestion raisonnée de l’eau, préservation des milieux humides, sobriété énergétique, matériaux pérennes — photovoltaïque, flux, récupération des eaux pluviales, etc. L’enjeu n’est pas seulement de réhabiliter, mais de réorienter des sites emblématiques vers des usages contemporains compatibles avec le vivant. dd.a y engage des interventions mesurées, ancrées dans les réalités du site, pour articuler exigences patrimoniales, qualité d’usage et contraintes environnementales.