Libération - "Architecture : l’Équerre d’argent 2024 récompense la gare d’un téléphérique en Haute-Savoie"
Libération consacre un article à la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève qui a reçu l’Équerre d’argent 2024. À travers cet article, Florian Bardou souligne notamment que « Le jury du prestigieux prix national d’architecture a ce lundi 18 novembre décidé de distinguer la réhabilitation «éthique» de l’ouvrage d’art en béton brut de la gare du téléphérique du Salève par les architectes Claudia et David Devaux. Une façon de récompenser une architecture qui se met au service des usagers. »
Le Monde - "En architecture, l’Équerre d’argent 2024 célèbre la réhabilitation"
Un article est consacré à la remise de l’Équerre d’argent 2024 à la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève dans Le Monde. Isabelle Regnier introduit son article ainsi : « Réhabiliter, transformer, valoriser, plutôt que raser l’existant, plutôt que construire. C’est là la seule voie possible, aujourd’hui, pour une architecture responsable. Ce n’est qu’en raisonnant de cette manière que le secteur du bâtiment peut espérer réduire significativement le niveau aujourd’hui colossal de ses émissions carbone, et inverser la dynamique toxique d’artificialisation des sols, dont il est l’instrument. »
Le Figaro - "Architecture : l’Équerre d’argent 2024 consacre une gare de téléphérique, éloge du contexte, efficace et beau"
Béatrice de Rochebouët revient, dans son article, sur la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève qui a été consacrée par l’Équerre d’argent 2024 : « S’il a le triomphe souvent modeste, le prix remis par le groupe Moniteur et AMC (deux revues à la pointe du domaine, en charge du prix depuis 1983) a le mérite de mettre en lumière des constructions qui ont toute leur importance dans notre quotidien et font état des préoccupations urbanistiques et environnementales d’aujourd’hui. La tendance de cette Équerre d’argent depuis quelques années est de coller à son époque et d’en être le reflet. »
Le Moniteur - "À l’Équerre d’argent, justesse et modestie au sommet"
Le Moniteur consacre un dossier au palmarès de l’Équerre d’argent 2024 et, notamment, à la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève : « Le jury présidé par Iwona Buczkowska a salué la virtuosité et l’humilité de la démarche de restitution et de transformation de cette infrastructure des années 1930 dans son paysage exceptionnel. »
AMC - "Équerre d'argent 2024 : le palmarès complet"
AMC consacre un dossier au palmarès complet de l’Équerre d’argent 2024 auquel figure la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève menée par DDA – Devaux & Devaux Architectes pour le Groupement local de coopération transfrontalière téléphérique du Salève.
d'a - "L’imaginaire comme patrimoine - Réhabilitation du téléphérique du Salève, Haute-Savoie"
La réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève fait la couverture du dernier numéro de d’a. Lauréat du Prix d’a 10+1 2024, le projet est également l’objet d’un article de Karine Dana : « La situation d’inachèvement de cet ouvrage d’art moderniste a permis d’ouvrir un passionnant champ d’interprétation pour le travail de restauration d’un édifice qui est aussi le rêve inabouti d’un architecte. Reconstitution et transformation sont ici intimement mêlées : une intrication troublante pour cette intervention remarquable sur un site classé Natura 2000 et troisième attraction touristique de Genève. »
Connaissance des arts - "Architecture : le grand prix de l’Équerre d’argent 2024 attribué à la gare du téléphérique du Salève"
Un article est consacré par Connaissance des arts à la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève qui a reçu l’Équerre d’argent 2024 : « Le jury a dans son choix été sensible à la question du service rendu au public. Le travail de Claudia et David Devaux permet ainsi aux usagers du téléphérique de savourer de différentes manières la splendide vue qui s’offre à leurs yeux sur le paysage helvétique en contrebas, par de nouvelles infrastructures : un restaurant, une terrasse et une esplanade panoramique auxquels s’ajoutent un mur d’escalade, des départs de randonnée et de descente en parapente. »
Architectures Cree - "Une histoire naturelle et culturelle : DDA Claudia et David Devaux architectes"
Un article d’Architectures Cree revient en longueur sur la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève, Équerre d’argent 2024 : « La réhabilitation du téléphérique du Salève en Haute-Savoie valorise ce patrimoine exceptionnel du vingtième siècle conçu par l’architecte moderne Maurice Braillard. Sous la direction des architectes de DDA, elle est un moyen privilégié d’approcher la montagne, dans une volonté affirmée de répondre aux enjeux de notre époque. »
Tribune de Genève - "Le téléphérique du Salève reçoit une prestigieuse récompense d’architecture"
Un article est consacré par Fabrice Breithaupt dans la Tribune de Genève à la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève qui a reçu l’Équerre d’argent 2024 : « Cette distinction d’architecture est l’une des plus convoitées dans le monde de l’architecture et couronne une œuvre d’exception qui associe innovation, respect du patrimoine et excellence collaborative. »
Le Moniteur - "Une gare entre ciel et terre"
Un article est consacré à la réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève dans le n°6321 du Moniteur (octobre 2024). À travers lui, « Une gare entre ciel et terre », Raphaëlle Saint-Pierre explicite en longueur et en images les intentions qui ont présidé à ce projet de réhabilitation.
Télécharger la parution (pdf)Atrium Patrimoine #101
Le projet de réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève est cité dans le « Billet du GMH » du magazine Atrium Patrimoine n°101 sur la thématique « Patrimoine de montagne : réserver en respectant les savoir-faire locaux ».
Télécharger la parution (pdf)Archiscopie 33
Le projet de réhabilitation de la gare haute du Téléphérique du Salève est cité par Dominique Amouroux dans le n°33 d’Archiscopie consacré aux « matière – matériau – matérialité ».
Archiscopie, revue trimestrielle éditée par la Cité de l’architecture et du patrimoine, n°33, juin 2023.
Maisons rêvées. 40 maisons d'architectes made in France
La Maison D. fait partie de la sélection établie par Delphine Aboukler de quarante maisons rêvées.
Paris, Éditions Gallimard, collection Alternatives, 2022
E 1027. Renaissance d'une maison en bord de mer
Sous la direction de Jean-Louis Cohen
Paris, Éditions du patrimoine, Centre des monuments nationaux, 2021
AMC
Maison M : Volets papillons en tasseaux de bois
AMC, Novembre 2019
Télécharger la parution (pdf)Le Monde
Villa Architecture : la villa E-1027 d’Eileen Gray rouvre ses volets pour l’été
France Bleu.fr
Cité du Cinéma d’animation à Annecy
Le projet de transformation du Haras d’Annecy dévoilé
Le courrier de l'architecte
Claudia Devaux, DDA et la double culture architecturale
Monumental
La Villa E-1027
Roquebrune-Cap-Martin
Dossier le patrimoine des années 1925-1935
Monumental, Semestre 2 – 2018, Editions du Patrimoine
Journal de Veyrier
Téléphérique métamorphosé en 2021
article publié n°117, novembre 2018
Télécharger la parution (pdf)Actualité de la scénographie
Centre culturel Paul Bailliart
Actualité de la scénographie n°219, juin 2018, p.70
Télécharger la parution (pdf)Léman Bleu.ch
Le téléphérique du Salève va se transformer
article publié le 30/05/2018
Le Temps.ch
A Genève, le téléphérique du Salève va retrouver ses couleurs
article publié le 31/05/2018
Tribune de Genève.ch
Le téléphérique du Salève sera transfiguré en 2021
article publié le 30/05/2018
Architectures à Vivre HS#34
Maison M
Créations Françaises
Architectures à Vivre, Hors Série #34, Mai-Avril-Juin 2017
Télécharger la parution (pdf)NOUVELLES ARCHITECTURES EN BOIS
Médiathèque de l’Île Saint-Denis
Nouvelles Architectures en Bois, Georges-Henri Florentin, éditions Le Moniteur, 2016
Télécharger la parution (pdf)E-1027 Restauration de la maison en bord de mer
E-1027 Restauration de la maison en bord de mer d’Eileen Gray et Jean Badovici, par Tim Benton
Août 2016
LES ECHOS
Villa E-1027, site corbuséen et gare culturelle
Revue de Presse
Août 2016
ARCHITECTURES DE BÉTON - BÉTOCIB
Crèche Guignier
46 réalisations contemporaines
Collection : Hors collection, Dunod
2016 – 240 pages
EXÉ
Centre culturel de Bastia
Dossier publié en Mai 2016 dans le n° 24
Télécharger la parution (pdf)L'Architecture d'Aujourd'hui.fr
Centre culturel de Bastia
Article publié le 09/12/15
Lien vers l’article
Le Figaro
Maison D., Vic-le-Comte
Prix du jury – Archinovo 2015
Édition du Mardi 24 Novembre 2015
Copper Architecture Forum
Poste de contrôle de l’Arc de Triomphe
Dossier publié dans le n°39 de Novembre 2015
Télécharger la parution (pdf)Hicarchitectura.com
Médiathèque de l’Île-Saint-Denis
Article publié en novembre 2015
Lien vers l’article
AMC
Crèche Guignier
Une Année d’architecture en France – 2014
Janvier 2015
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ARCHITECTURES OPTIMISTES
Médiathèque et école d’art de l’Île-Saint-Denis
La sélection annuelle de French Touch
France 2014
EXE
Crèche Guignier, Paris 20e
EXE n°18
« À VIVRE éditions »
2014-2015/novembre/décembre/janvier
Science et Vie
Maison D., Vic-le-Comte
Avec « Architecture à Vivre »
Hors Série 2014
“Chambre avec vue”
Intérieur - En Auvergne
Maison D., Vic-le-Comte
En Auvergne,
Rubrique Habitat n° 32,
Photos Christophe Camus / Textes Denis Couderc – agence Par écrit
« C’est une vue géniale, on ne s’en lasse en aucune saison. » Il est vrai qu’un beau tableau est toujours mieux apprécié avec un encadrement harmonieux. Ici, le tableau est le paysage du cœur de la “Toscane auvergnate”, comme on surnomme le pays de Billom, vu depuis Vic-le-Comte : 180 degrés à l’heure où la lumière part en biais et teinte ses hauteurs arrondies d’allures italiennes. Quant au cadre, c’est la baie vitrée longue de vingt mètres et plus, dans l’espace ouvert de la vaste maison D.
Comment la décrire ? « Je n’ai pas l’impression d’habiter une maison », poursuit la maîtresse des lieux. « Je souhaitais des grandes baies et des matériaux nobles, précise son époux, mais on ne s’attendait pas à une proposition d’architecture aussi moderne. » Comme une boîte plate allongée sur le terrain légèrement incliné, une boîte en béton brut, verre, pierre et bois de 35 mètres sur 6, aux joues creuses et changeantes…
De longues, longues joues, parois transparentes ou juste translucides, ou bien ouvertes ou semi-voilées, ou encore un peu tout cela à la fois : aux flancs de la maison, dans l’épaisseur de ses larges rebords protecteurs, s’alignent et coulissent à volonté les parois de verre, les lames de toile et le bois ajouré. La boîte s’ouvre, se voile et se referme à la demande, pour une tranche de ciel ou son ombre, sur mesure… Côté est, chacune des matières absorbe ou filtre à son gré la lumière, le concerto des trois jouant comme sur une gamme du sublime paysage, de son ensoleillement et de ses arc-en-ciel réputés fréquents. Invité permanent en ces lieux presque conçus en son honneur, l’horizon peut ainsi, à certaines heures, s’en effacer légèrement – comme si, au tiré d’un rideau le rappelant à la discrétion, il faisait un petit pas de côté…
« Cette maison, c’est d’abord l’histoire de ce terrain : sa situation est pour beaucoup dans la conception de cette architecture, pour profiter pleinement du panorama », explique David Devaux, qui a trouvé l’emplacement et conçu la maison, et qui est aussi le fils de la propriétaire. Ce cumul est-il aisé ?
« Sur des projets d’habitations individuelles, la relation est toujours très intime entre l’architecte et son client : il faut parvenir à lui apporter un plaisir qui réponde vraiment à ses goûts, un peu comme un cuisinier… Donc on souhaite toujours que cette histoire entre personnes ne se finisse pas mal, et là encore plus, bien sûr ! Il y a aussi une envie particulière, après être devenu adulte et autonome, de pouvoir “retourner” un jour tout ce qu’on nous a donné pour grandir… »
“Vu d’en face”, pour être parent et très confiant, on n’en a pas moins des désirs de client, et d’abord celui d’un bel espace en relation harmonieuse avec l’extérieur, où le dedans et le dehors se marchent un peu sur les pieds… Habitant jusque là une construction d’architecture plutôt classique, moins spacieuse, les maitres de céans souhaitaient aussi, explique David Devaux, « s’affranchir un peu des logiques distributives traditionnelles avec un couloir desservant différentes pièces. » Le plan intérieur qu’il propose est aussi apparemment simple qu’audacieux : un rectangle avec deux axes de circulation, deux allées le long des décamètres de baies ; des murs traversants mais pas tout à fait, qui ont plus souvent l’air de cloisons ou d’écrans ; et de rares portes, strictement indispensables à l’intimité nocturne et absentes de l’espace de vie central.
La porte d’entrée “officielle” de la demeure s’ouvre dans la façade ouest, devant laquelle la végétation s’intercale jusqu’au mur d’arkose blonde longeant la rue. L’espace et sa verdure ont été conçus par Claudia Devaux, associée de son époux David. Le pignon nord, en contrebas, révèle l’entrée des machines en tous genres, stockées en demi-sous-sol. Mais l’entrée la plus sympa, en fait, c’est une terrasse couverte ou un immense auvent, en bref une pièce de plus mais munie de son seul toit, qui surplombe la piscine fichée à angle droit plein est dans le bâtiment. C’est même une double entrée : d’un côté on peut glisser dans la cuisine, et au sud on accède à un espace d’hébergement indépendant, à l’usage des visites familiales. Ainsi la maison n’est pas seulement belle, grande, ouverte et discrète, peu visible de loin, elle est aussi modulable selon les variations saisonnières.
Devant cet espace tout à la fois vide et très construit, l’eau de la piscine et les dalles de pierre de Volvic font elles aussi dans la discrétion et en rajoutent dans le gris-bleu modéré. « Pas de patchwork », confesse la patronne qui n’en démordra pas. Ici elle habite une nouvelle vie, à moins qu’elle ne vive une nouvelle maison : la greffe a pris, la maison D. est bouturée sur le paysage. Le panorama très pur des monts “auvergnatoscans” garde le tout premier rôle dans cette mise en scène infiniment changeante à force de murs présents-absents et de lumières multifiltrées. Quelques heures à travers la maison D., et l’on ne sait plus tout à fait si l’on est en ville ou en pleine campagne, est-ce bien exactement l’heure de l’apéritif, ni pourquoi l’homme et la femme ont de toute éternité voulu des maisons : s’abriter du ciel ou pouvoir l’inviter à tout moment ?
Béton : ABC réalisation
Menuiseries : Menuiseries Mégemont Père et Fils
Pierre de Volvic : Gilles Anzur
Plât.-peinture : Alex Balzarini
Electricité : Forclum
Verre : atelier du verre David
Extérieurs : Girardet
Piscine : Jaune et bleu
Optimiste d'Architecture
Construction de l’unité cynophile départementale de Seine-et-Marne
Annuel Optimiste d’Architecture
France, 2011
Habiter Écologique
Scénoparc IO
Habiter Écologique. Quelles architectures pour une ville durable?
Actes Sud/Cité de l’architecture et du patrimoine, Arles 2009 (p.400)
Séquence bois
Centre culturel Paul Baillart à Massy
Séquence bois – espaces et lieux publics
numéro 74, mars 2009
Libération Next
Centre culturel Paul Baillart à Massy
Libération Next, n°16
Télécharger la parution (pdf)Cimaise
DAVID DEVAUX – Jusqu’à l’indicible
Cimaise n°287, sept.-oct. 2007
Télécharger la parution (pdf)Optimiste d'Architecture
Centre culturel Paul Baillart à Massy
Annuel Optimiste d’Architecture
France, 2007
d'Architecture
Centre culturel Paul Baillart à Massy
d’Architecture n°167, octobre 2007
Télécharger la parution (pdf)Yearbook Dix
Interview de David Devaux
Annuel étudiant 2014-2015 de l’énsa-v
Paru en Janvier 2016
Architectures à vivre
Cabine de vacances « KBeen »
Architectures à vivre n°35
Mars/Avril 2007
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