Notre travail s’inscrit dans une éthique de la transformation : faire du diagnostic un moteur de projet et de programme, et de l’architecture un support d’usages futurs — ouverts et partagés. Dans un contexte où les usages évoluent rapidement, la programmation architecturale ne peut plus être une simple planification fonctionnelle : elle devient un outil de prospection et d’adaptabilité dans une logique ouverte — concevoir non pas pour figer mais pour permettre.
Nous défendons une programmation évolutive, fondée sur l’observation du réel des usages actuels, et la capacité d’accueil de l’imprévu. Cette « modestie » est une croyance dans les potentiels d’expérimentation collective, qui consiste à faire avec les habitants, associations, acteurs locaux afin de construire un programme vivant, en résonance avec son territoire. La programmation doit ainsi un processus collaboratif et non une étape figée. À ce titre, nous l’envisageons comme un processus parallèle au diagnostic architectural, permettant une adaptation constante entre un site existant ou et des besoins potentiels, émergents ou confirmés.
Cette approche rejoint notre conviction que tous les sites sont déjà habités, et que transformer c’est d’abord révéler, partir de l’existant pour y inscrire des usages compatibles avec une infrastructure, un site existants et leur esprit. La fonction s’adapte au lieu, non l’inverse. La programmation devient donc à la fois un outil de sobriété constructive, de cohésion et d’innovation sociale. En plaçant les usagers et les architectes au cœur du processus, elle devient un moyen d’appropriation collective, renforçant le lien entre habitants et lieu.
Notre travail s’inscrit dans une éthique de la transformation : faire du diagnostic un moteur de projet et de programme, et de l’architecture un support d’usages futurs — ouverts et partagés. Dans un contexte où les usages évoluent rapidement, la programmation architecturale ne peut plus être une simple planification fonctionnelle : elle devient un outil de prospection et d’adaptabilité dans une logique ouverte — concevoir non pas pour figer mais pour permettre.
Nous défendons une programmation évolutive, fondée sur l’observation du réel des usages actuels, et la capacité d’accueil de l’imprévu. Cette « modestie » est une croyance dans les potentiels d’expérimentation collective, qui consiste à faire avec les habitants, associations, acteurs locaux afin de construire un programme vivant, en résonance avec son territoire. La programmation doit ainsi un processus collaboratif et non une étape figée. À ce titre, nous l’envisageons comme un processus parallèle au diagnostic architectural, permettant une adaptation constante entre un site existant ou et des besoins potentiels, émergents ou confirmés.
Cette approche rejoint notre conviction que tous les sites sont déjà habités, et que transformer c’est d’abord révéler, partir de l’existant pour y inscrire des usages compatibles avec une infrastructure, un site existants et leur esprit. La fonction s’adapte au lieu, non l’inverse. La programmation devient donc à la fois un outil de sobriété constructive, de cohésion et d’innovation sociale. En plaçant les usagers et les architectes au cœur du processus, elle devient un moyen d’appropriation collective, renforçant le lien entre habitants et lieu.