Créé en 2004 sur proposition du Conseil National des Parcs et Jardins, le label « Jardin Remarquable » distingue les parcs et jardins — publics ou privés — présentant un intérêt culturel, historique, esthétique ou botanique. Il s’appuie sur une procédure régionale pilotée par les DRAC, combinant l’analyse documentaire, l’examen des critères de composition, d’intégration au site, d’éléments remarquables et de qualité de l’entretien. Le label valorise l’ouverture au public et incite à la mise en œuvre d’actions pédagogiques et culturelles. Il confère une visibilité accrue via la communication officielle et la signalisation, tout en favorisant une prise en compte dans les politiques locales d’urbanisme. La distinction repose sur un équilibre entre l’intérêt patrimonial, la qualité environnementale et la capacité d’accueil : une exigence nationale qui reconnaît le patrimoine végétal comme un acteur vivant culturel.
Dans ce cadre, l’intervention de dd.a s’inscrit dans une lecture attentive des jardins comme écosystèmes et héritages culturels à préserver. Les projets combinent restauration des structures historiques — restanques, bassins, ouvrages en pierre ou bois — et adaptation des espaces aux usages contemporains, aux nouveaux parcours de visite, tout en intégrant une gestion raisonnée de l’eau et de la biodiversité. Les choix techniques et matériels, comme par exemple les murs à caissons légers ou les réseaux d’irrigation repensés, visent à assurer la pérennité des aménagements tout en minimisant l’impact écologique. À travers ces paysages, dd.a s’engage à maintenir une cohérence historique, à renforcer les identités botaniques et paysagères, tout en rendant les jardins accessibles et compréhensibles au public ; à repenser la signalétique, les parcours pédagogiques et valoriser les collections végétales.
Créé en 2004 sur proposition du Conseil National des Parcs et Jardins, le label « Jardin Remarquable » distingue les parcs et jardins — publics ou privés — présentant un intérêt culturel, historique, esthétique ou botanique. Il s’appuie sur une procédure régionale pilotée par les DRAC, combinant l’analyse documentaire, l’examen des critères de composition, d’intégration au site, d’éléments remarquables et de qualité de l’entretien. Le label valorise l’ouverture au public et incite à la mise en œuvre d’actions pédagogiques et culturelles. Il confère une visibilité accrue via la communication officielle et la signalisation, tout en favorisant une prise en compte dans les politiques locales d’urbanisme. La distinction repose sur un équilibre entre l’intérêt patrimonial, la qualité environnementale et la capacité d’accueil : une exigence nationale qui reconnaît le patrimoine végétal comme un acteur vivant culturel.
Dans ce cadre, l’intervention de dd.a s’inscrit dans une lecture attentive des jardins comme écosystèmes et héritages culturels à préserver. Les projets combinent restauration des structures historiques — restanques, bassins, ouvrages en pierre ou bois — et adaptation des espaces aux usages contemporains, aux nouveaux parcours de visite, tout en intégrant une gestion raisonnée de l’eau et de la biodiversité. Les choix techniques et matériels, comme par exemple les murs à caissons légers ou les réseaux d’irrigation repensés, visent à assurer la pérennité des aménagements tout en minimisant l’impact écologique. À travers ces paysages, dd.a s’engage à maintenir une cohérence historique, à renforcer les identités botaniques et paysagères, tout en rendant les jardins accessibles et compréhensibles au public ; à repenser la signalétique, les parcours pédagogiques et valoriser les collections végétales.