Annecy accueille le plus grand festival mondial de cinéma d’animation, et le projet de la Cité du Cinéma d’Animation entend en constituer une vitrine permanente et emblématique. Au-delà des questions de formes et de matériaux, il s’agit d’ouvrir le site à la ville, en proposant de nouveaux lieux de vie, de rencontre et d’échanges. Le projet se place ainsi dans une réflexion urbaine et patrimoniale, qui interroge les prolongements de l’espace public, l’intégration des équipements culturels et la place de la nature dans la ville. L’histoire du site éclaire cette approche : le parc originel ne se limitait pas à l’est mais enveloppait l’ensemble des bâtiments. La reconstitution de cette trame végétale offre un cadre pour accueillir les nouveaux usages tout en maintenant la mémoire du lieu.
Les interventions extérieures, aux articulations du manège et des écuries, constituent un enjeu urbain majeur. Côté rue de la Paix, une halle ouverte sur la place permet de prolonger le marché et d’accueillir de grandes tablées ou événements, tout en protégeant les usagers du soleil et de la pluie. Du côté du Boulevard du Lycée et de l’Avenue de Brogny, le parvis dégagé crée une perspective depuis l’ouest et facilite l’accès au parc. Le passage couvert qui le traverse relie l’accueil du pôle culturel et les espaces d’exposition et de projection, offrant un lieu de rencontre central, modulable et accessible au quartier et à la ville.
Le projet s’appuie sur une lecture attentive du patrimoine et du paysage existant. La volumétrie du manège est conservée, tandis que la sellerie devient l’accueil du site, ses boiseries rappelant le passé équestre. Le parc est traité comme une composition vivante, où pelouses, prairies, bosquets et bouquets d’arbres dialoguent avec les « cathédrales végétales » existantes. La place centrale, avec son bassin et ses jeux d’eau, devient un espace convivial et animé. La halle, le passage, le parc et le bassin offrent ainsi des lieux pour se rencontrer et partager, s’inscrivant dans la continuité de la ville, de ses rues et de ses canaux, et renforçant le lien entre la nature, l’eau et la vie urbaine.
Annecy accueille le plus grand festival mondial de cinéma d’animation, et le projet de la Cité du Cinéma d’Animation entend en constituer une vitrine permanente et emblématique. Au-delà des questions de formes et de matériaux, il s’agit d’ouvrir le site à la ville, en proposant de nouveaux lieux de vie, de rencontre et d’échanges. Le projet se place ainsi dans une réflexion urbaine et patrimoniale, qui interroge les prolongements de l’espace public, l’intégration des équipements culturels et la place de la nature dans la ville. L’histoire du site éclaire cette approche : le parc originel ne se limitait pas à l’est mais enveloppait l’ensemble des bâtiments. La reconstitution de cette trame végétale offre un cadre pour accueillir les nouveaux usages tout en maintenant la mémoire du lieu.
Les interventions extérieures, aux articulations du manège et des écuries, constituent un enjeu urbain majeur. Côté rue de la Paix, une halle ouverte sur la place permet de prolonger le marché et d’accueillir de grandes tablées ou événements, tout en protégeant les usagers du soleil et de la pluie. Du côté du Boulevard du Lycée et de l’Avenue de Brogny, le parvis dégagé crée une perspective depuis l’ouest et facilite l’accès au parc. Le passage couvert qui le traverse relie l’accueil du pôle culturel et les espaces d’exposition et de projection, offrant un lieu de rencontre central, modulable et accessible au quartier et à la ville.
Le projet s’appuie sur une lecture attentive du patrimoine et du paysage existant. La volumétrie du manège est conservée, tandis que la sellerie devient l’accueil du site, ses boiseries rappelant le passé équestre. Le parc est traité comme une composition vivante, où pelouses, prairies, bosquets et bouquets d’arbres dialoguent avec les « cathédrales végétales » existantes. La place centrale, avec son bassin et ses jeux d’eau, devient un espace convivial et animé. La halle, le passage, le parc et le bassin offrent ainsi des lieux pour se rencontrer et partager, s’inscrivant dans la continuité de la ville, de ses rues et de ses canaux, et renforçant le lien entre la nature, l’eau et la vie urbaine.
Alep, paysagiste
Ducks Sceno, scénographe
Les Éclaireurs, éclairagiste
Louis Choulet, fluides
Batiserf, structure
BMF, économiste
Studio Dap, acousticien
Batiss, sécurité incendie